On vous emmène au centre du monde, en Equateur.

Connaissez-vous ce pays abritant à la fois forêt amazonienne et architecture pittoresque ? En Equateur, de nombreux aspects des richesses culturelles et naturelles sont préservés dont la biodiversité. Elle regroupe les paysages les plus fabuleux de l’Amérique du Sud. Pourtant, comme partout dans le monde, la faune et la flore ainsi que les liens à la terre en ces lieux se voient menacées par certaines activités à visées économiques. Devenue une de nos zones d’action depuis 2022, nous sommes entrées en contact avec Byron. En tant que représentant de son village, il est notre lien qui rattache le siège à sa communauté.

Ce qui nous pousse à aider la communauté Waorani

Les grandes industries pétrolières polluent l’air, la terre, les rivières… Les animaux, chassés, désertent de plus en plus les forêts. Les conséquences vont au-delà de la sphère  environnementale. En effet, la culture Waorani en elle-même est exposée à cette pollution. Le lien à la terre, la connexion avec la nature se perd de plus en plus dans notre ère mondialisée. Cette situation actuelle pousse Byron à s’investir grandement envers la protection du patrimoine naturel et culturel de son village. Constellation Sociale le soutient dans sa noble cause. Nous l’aidons dans son projet de reconstruction d’une case communautaire. Il s’agit d’une maison typique de la culture Waorani. Dans son village elle est utilisée pour animer les rassemblements culturels et sociaux.

Concrètement, où en est-on actuellement ?

Après avoir racheté un téléphone portable pour éditer les Savoir-faire et communiquer avec Byron, nous attaquons le point projet. Nous étudions ensemble les activités génératrices de revenus puis nous accompagnons dans sa mise en place. Toute sa communauté (environ 200 personnes) bénéficie des activités que nous finançons. En premier lieu, la communauté a jugé bon de se lancer dans la culture de la coriandre et de l’ail sauvage. Des femmes du village ont également lancé un projet de récolte de plantes afin de développer leur médecine traditionnelle.

Laisser un commentaire